Si vous voulez changer le futur, vous devez changer ce que vous faites dans le présent !
Si vous voulez changer le futur, vous devez changer ce que vous faites dans le présent !

À l’origine, il y a Socrate

Le père du coaching est Socrate qui, selon Platon prônait comme principe que le philosophe doit la maïeutique. Le but de Socrate est d’éveiller et « d’accoucher les âmes du savoir préformé qu’elles portent en elles ». La maïeutique est le fondement d’une pratique orientée vers le dialogue réflexif et le raisonnement sur les affaires humaines.

Ses caractères se déclinent dans la pratique du coaching en plusieurs axes :

  • le questionnement suggéré par le coach,
  • la découverte autonome des réponses et des solutions par le coaché,
  • le coach n’est pas forcément expert dans les problèmes personnels ou professionnels dont il accompagne la résolution,
  • la différence entre la demande explicite du coaché et son besoin réel,
  • l’attitude de bienveillance et d’écoute inconditionnelle,
  • le principe selon lequel le coaché dispose déjà en lui d’un savoir et d’un raisonnement suffisants, et qu’il importe de l’aider à les découvrir,
  • la nécessité pour le coach de disposer d’une méthode de questionnement.

L’histoire est jalonnée de ces accompagnateurs : Aristote pour Alexandre, Mentor pour Ulysse, Sénèque pour Néron, et tant d’autres… Si on considère le coaching comme la forme de maïeutique la plus adaptée pour affronter les contingences sociétales, il peut être considéré comme une relation d’aide par un accompagnement personnalisé. La question de sa récence peut se poser, le coaching existait depuis qu’un « homme a prêté l’oreille à l’un de ses semblables…, l’a aidé à trouver une solution sans lui imposer »

Et vous ? Qu'en pensez-vous ?